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La langue de Shakespeare : un «must-have» pour réussir ?

«Anglais courant exigé», «la maîtrise d’une langue supplémentaire est un plus »… Une de vos plus grandes craintes lors de vos recherches d’emploi ?  Des sous-titres seraient presque la bienvenue au cours de vos échanges avec vos collègues de bureau qui vous parlent sans arrêt de « benchmark », « deadline » et « update » ?  Et pourtant, le marché du travail fait la part belle à l’anglicisme qui séduit aujourd’hui de nombreux recruteurs…

Vous considérez faire partie des 2/3 de la population tricolore qui ne parle aucune langue étrangère couramment ? Il est enfin temps de régler vos pendules et de passer à l’heure anglaise ! Pour cause, vous risquez d’être de plus en plus sollicités pour vos compétences linguistiques, qui se révèlent être un facteur déterminant à l’embauche dans de nombreux secteurs. En 2017 pour 78 % des entreprises, les besoins de collaborateurs maîtrisant l’anglais ont augmenté sur les 3 dernières années (source : IPSOS pour ETS). Un élément que les recruteurs francophones prennent tout autant en compte en observant aujourd’hui d’un œil attentif ces aptitudes pour dénicher de nouveaux talents. Une carte à jouer pour les demandeurs d’emploi puisque l’hexagone se place seulement au 29e rang mondial du classement des pays apprivoisant le mieux la langue anglaise (source : Institue Education First) et à la 25e place du niveau TOEFL.

En examinant  l’effectif de structures qui usent de ce type de test dans leur processus de recrutement, il y a fort à parier que ce n’est qu’une question de temps pour les actifs qui ne misent actuellement pas sur les langues pour se démarquer. Une aptitude d’autant plus importante à considérer de la part des travailleurs du digital puisque la toile affiche environ 80 % de contenus rédigés en anglais. Certains pays proposent même des salaires supérieurs pour les personnes parlant la langue (en Suisse, un travailleur peut espérer une augmentation de 18%). Let’s work it out !

La sphère numérique : une aubaine pour améliorer les possibilités de carrière

C’est une fois sorti des bancs de l’école et l’agenda débordant de rendez-vous qu’il reste bien compliqué d’envisager une quelconque formation. Si le Centre Médical de l’Université de Georgetown a qualifié les individus bilingues depuis leur plus jeune âge plus aptes à apprendre de nouvelles langues, les français verraient pourtant, grâce à un perfectionnement complémentaire, des opportunités d’évolution ou d’embauche grimper en flèche.

Dans un contexte où l’apprentissage de l’anglais n’est pas toujours approfondi au cœur de la majorité des cursus universitaires, les atouts de l’e-learning comme la flexibilité et l’interactivité demeurent un atout à ne pas négliger. Le succès grandissant des tutoriels, des plateformes vidéo et des modules d’apprentissage digitaux remplit pour le moment la promesse que le numérique pourrait être une solution efficace pour les apprenants au planning bien garni. Chers salariés, il ne vous reste plus qu’à solliciter les différentes sources financières qui peuvent vous être proposées pour vous mettre enfin à niveau !

Ne filez donc pas à l’anglaise et faites confiance à Icademie pour optimiser votre CV : https://www.icademie.com/fr/formation-a-distance-langues-etrangeres/formation-renforcee-online-anglais