«Anglais courant exigé», «la maitrise d’une langue supplémentaire est un plus »… Une de vos plus grandes craintes lors de vos recherches d’emploi ? Des sous-titres seraient presque la bienvenue lors de vos échanges avec vos collègues de bureau qui vous parlent sans arrêt de « benchmark », « deadline » et « update » ? Et pourtant, le marché du travail fait la part belle à l’anglicisme qui séduit aujourd’hui de nombreux recruteurs.
Vous aussi considérez faire partie des 2/3 de la population tricolore qui ne parle aucune langue étrangère couramment ? Il est enfin temps de régler vos pendules et de passer à l’heure anglaise ! Pour cause, vous risquez de vous voir de plus en plus sollicité pour vos compétences linguistiques, qui se révèlent être un facteur déterminant à l’embauche. En 2017 pour 78 % des entreprises, les besoins de collaborateurs maîtrisant l’anglais a augmenté sur les 3 dernières années (source : IPSOS pour ETS). Un élément que les recruteurs francophones prennent tout autant en compte, puisque nombreux d’entre eux observent aujourd’hui d’un œil attentif ces aptitudes pour dénicher de nouveaux talents. Une carte à jouer pour les demandeurs d’emploi puisque l’hexagone se place seulement au 29e rang mondial du classement des pays maitrisant le mieux la langue anglaise (source : Institue Education First) et au 25e du classement TOEFL.
En examinant l’effectif de structures qui usent de ce type de test dans leur processus de recrutement, il y a fort à parier que ce n’est qu’une question de temps pour les actifs qui ne misent actuellement pas sur les langues pour se démarquer. Une aptitude d’autant plus importante à prendre en compte pour les travailleurs du digital puisque la toile dévoile actuellement environ 80 % de contenus rédigés en anglais. Certains pays proposent même des salaires supérieurs pour les personnes parlant la langue (En Suisse, un travailleur peut espérer une augmentation de 18%). Let’s work it out !
L’apprentissage à distance : une aubaine pour améliorer les possibilités de carrière
Si le Centre Médical de l’Université de Georgetown a qualifié les personnes bilingues depuis leur plus jeune âge plus aptes à apprendre de nouvelles langues, les français verraient grâce à une formation supplémentaire, des opportunités d’évolution ou d’embauche grimper en flèche. Dans un contexte où l’apprentissage de l’anglais n’est pas toujours approfondi lors de certaines formations universitaires, les atouts de l’e-learning comme la flexibilité, l’apprentissage par le digital et l’interactivité ne sont pas à négliger. Le succès grandissant des tutoriels, des plateformes vidéo et des modules d’e-learning remplit la promesse que le digital pourrait être une solution efficace pour les apprenants au planning bien garni.
Ne filez donc pas à l’anglaise et faites confiance à Icademie pour optimiser votre CV et mettre toutes les chances de votre côté : https://www.icademie.com/fr/formation-a-distance-langues-etrangeres/formation-renforcee-online-anglais